Difficile de tirer des conclusions de l’ensemble de la presse sortie ces derniers temps sur le marché immobilier… Fnaim, Chambre des notaires, Xerfi, ERA…A vot’bon coeur M’sieurs dames…d’une
étude à l’autre, les bases de réflexions ne sont pas les mêmes et on y perd son latin:
– Paris, ou France entière?
– Total transactions ou distinction neuf/ancien?
– Volume ou valeur?
– Pourcentage d’évolution d’un trimestre à l’autre ou cumul annuel?
Alors? Crise sévère ou ajustement du marché? Paris épargné ou pas? Crise durable ou ponctuelle?
Ce qu’aucune étude n’évoque, c’est la pénurie de logements, particulièrement à Paris, l’augmentation des prix de l’essence qui conditionne un rapproc hement travail/domicile (et donc probablement
une priorité vers la ville), une multiplication du nombre de ménages,…même si la solvabilité des ménages est entammée, peut il y avoir crise de l’immobilier dans ces conditions?
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